A Bordeaux, les quatre premiers cas admis en réanimation sont tous jeunes, l’un ayant 26 ans. Le médecin qui les soigne précise qu’ils ont tous pris des anti-inflammatoires type ibuprofène pour traiter les symptômes de fébrilité avant l’arrivée à l’hôpital. Les anti-inflammatoires font flamber les infections quand c’est une infection à l’origine des douleurs ou des différents signes inflammatoires.
Comme dans d’autres hôpitaux, les médecins notent la brutalité de l’aggravation de l’affection, avec une stabilisation plutôt efficace dès la mise en marche du traitement symptômatique (la détresse respiratoire).
Depuis le 25 février, un dépistage en ambulatoire a été mis en place.
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